# Codage Ju'Dim 4 Avr - 23:40
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# Re: Codage Ju'Dim 4 Avr - 23:40Saara et XXXX Titre super cool J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ? :copyright:️ 2981 12289 0
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?
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# Re: Codage Ju'Lun 5 Avr - 0:44Filipe
et XXXX Titre cool Après une journée compliquée avec la formation vétérinaire, Filipe débutait la soirée avec un mal de crâne pas possible. Pour se vider l’esprit, il avait décidé de braver le froid Finlandais en compagnie de son brave Salvador, qui lui était resté au Centre de Soins toute la journée. Malheureusement, avec la neige, les chemins de balade n’étaient pas praticables alors le duo s’étaient rabattu sur le jardin, l’arrière de l’académie. Au moins, ils pouvaient se dépenser.
Le froid glacial du moment n’était pas du goût du braque qui évitait le plus possible les gros monticules de neige fraiche, restant sur les chemins bien déneiger.
Filipe - Et ouais mon gars, on n’a pas le choix, on doit supporter la neige pour 6 mois !
Il soupira en glissant ses mains gelées dans les poches de son jean, quelle idée de sortir sans équipements alors que les températures étaient glaciales. Il fallait dire que l’apprenti vétérinaire n’était clairement pas adepte de la neige et même des sports de neige. Tout ce qui impliquait le froid ou la neige il évitait. Avec l’académie, s’était raté ! Les plages, le sable chaud et le soleil de Port Elizabeth lui semblait bien loin.
Après avoir laissé Salvador vaqué en totale liberté, l’Allemand siffla pour appeler son chien. L’avantage avec un chien de chasse était l’excellente connaissance du rappel. Enfin, une fois que cette tête de mule avait bien voulu l’apprendre. Heureusement son frère Niklas, grand fidèle de la race canine, l’avait bien aidé avec l’éducation de son compagnon.
En prenant la route vers le Haras, il vit au loin deux silhouettes imposantes. Des chiens, il en était certain et pas des moindres vu leur carrure. Par vigilance, il demanda à Salvador de rester au pied, collé contre sa jambe. Si Filipe pouvait éviter un drame pour clôturer la journée, c’était préférable. C’est en approchant qu’il vit un homme - avec une tenue en totale contradiction avec le temps actuel -accompagner les canidés. Et ce n’était pas n’importe lesquels puisqu’il s’agissait de chiens loups ou du moins des chiens ressemblant fortement à des loups. Pouvait-ils même s’agir de loups apprivoisés ? Salvador ne savait pas comment réagir devant ses congénères et préféra resté près de son maitre.
Jeffrey - Bonsoir, très impressionnant votre chien. C'est quelle race ?
Filipe - Bonsoir, alors franchement, je ne sais pas si mon chien est le plus impressionnant du groupe.
Il eut un léger rire.
Filipe - Mais merci pour lui, ça flatte son ego ! C’est un braque de Weimar. Et vous ? Je n’y connais pas grand-chose en race de chien-loup.
Filipe observa à la dérober le pelage noir du chien étant resté à côté de l’homme devant lui. A coup sûr le chien le plus mature des deux, vu que le deuxième revenait tout juste avec une balle dans la gueule, prêt à courir de nouveau pour chercher son jouet.
Jeffrey - Je me présente, Jeffrey Marshall. Je suis éleveur de chevaux américain.
Ceci expliquait cela, le chapeau de cow-boy et l’accent américain. C’était la première fois qu’il rencontrait un éleveur qui se spécialisait pas en équitation « classique ». Un point très intéressant pour sa formation vétérinaire car les chevaux de monte western n’avait pas du tout la même morphologie que les autres.
Filipe - Oh ! C’est bien la première fois que je croise un éleveur de chevaux américain ! Enchanté Jeffrey, c’est un plaisir de faire votre rencontre. Je suis Filipe Hartmann, un jeune apprenti vétérinaire et lui c’est Salvador.
Comme pour terminer sa phrase, il sortit la main de sa poche pour caresser la tête de son chien. Salvador, en espagnol, le sauveur. En quelque sorte, ce nom lui permettait de se rappeler de là où il venait et tout ce que Filipe avait fait pour en arriver là.
Filipe - Et les vôtres s’appellent comment ? Au fait, on peut se tutoyer ? Je ne suis pas fan du vouvoiement. Mais ça vous dérange, pas de soucis.
En effet, il n’était pas prise de tête et le vouvoiement faisait partie des choses que l’Allemand considérait comme superflu. Le soleil ayant disparut en quasi-totalité, les membres du jeune homme commençait à se frigorifiait.
Filipe - J’avais prévu de prendre un verre au Haras, tu m’accompagnes ?
Il n’attendait que sa réponse positive pour courir au chaud pour prendre un verre - ou deux -. Il l’avait bien mérité après une si longue journée. :copyright:️ 2981 12289 0
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Le froid glacial du moment n’était pas du goût du braque qui évitait le plus possible les gros monticules de neige fraiche, restant sur les chemins bien déneiger.
Filipe - Et ouais mon gars, on n’a pas le choix, on doit supporter la neige pour 6 mois !
Il soupira en glissant ses mains gelées dans les poches de son jean, quelle idée de sortir sans équipements alors que les températures étaient glaciales. Il fallait dire que l’apprenti vétérinaire n’était clairement pas adepte de la neige et même des sports de neige. Tout ce qui impliquait le froid ou la neige il évitait. Avec l’académie, s’était raté ! Les plages, le sable chaud et le soleil de Port Elizabeth lui semblait bien loin.
Après avoir laissé Salvador vaqué en totale liberté, l’Allemand siffla pour appeler son chien. L’avantage avec un chien de chasse était l’excellente connaissance du rappel. Enfin, une fois que cette tête de mule avait bien voulu l’apprendre. Heureusement son frère Niklas, grand fidèle de la race canine, l’avait bien aidé avec l’éducation de son compagnon.
En prenant la route vers le Haras, il vit au loin deux silhouettes imposantes. Des chiens, il en était certain et pas des moindres vu leur carrure. Par vigilance, il demanda à Salvador de rester au pied, collé contre sa jambe. Si Filipe pouvait éviter un drame pour clôturer la journée, c’était préférable. C’est en approchant qu’il vit un homme - avec une tenue en totale contradiction avec le temps actuel -accompagner les canidés. Et ce n’était pas n’importe lesquels puisqu’il s’agissait de chiens loups ou du moins des chiens ressemblant fortement à des loups. Pouvait-ils même s’agir de loups apprivoisés ? Salvador ne savait pas comment réagir devant ses congénères et préféra resté près de son maitre.
Jeffrey - Bonsoir, très impressionnant votre chien. C'est quelle race ?
Filipe - Bonsoir, alors franchement, je ne sais pas si mon chien est le plus impressionnant du groupe.
Il eut un léger rire.
Filipe - Mais merci pour lui, ça flatte son ego ! C’est un braque de Weimar. Et vous ? Je n’y connais pas grand-chose en race de chien-loup.
Filipe observa à la dérober le pelage noir du chien étant resté à côté de l’homme devant lui. A coup sûr le chien le plus mature des deux, vu que le deuxième revenait tout juste avec une balle dans la gueule, prêt à courir de nouveau pour chercher son jouet.
Jeffrey - Je me présente, Jeffrey Marshall. Je suis éleveur de chevaux américain.
Ceci expliquait cela, le chapeau de cow-boy et l’accent américain. C’était la première fois qu’il rencontrait un éleveur qui se spécialisait pas en équitation « classique ». Un point très intéressant pour sa formation vétérinaire car les chevaux de monte western n’avait pas du tout la même morphologie que les autres.
Filipe - Oh ! C’est bien la première fois que je croise un éleveur de chevaux américain ! Enchanté Jeffrey, c’est un plaisir de faire votre rencontre. Je suis Filipe Hartmann, un jeune apprenti vétérinaire et lui c’est Salvador.
Comme pour terminer sa phrase, il sortit la main de sa poche pour caresser la tête de son chien. Salvador, en espagnol, le sauveur. En quelque sorte, ce nom lui permettait de se rappeler de là où il venait et tout ce que Filipe avait fait pour en arriver là.
Filipe - Et les vôtres s’appellent comment ? Au fait, on peut se tutoyer ? Je ne suis pas fan du vouvoiement. Mais ça vous dérange, pas de soucis.
En effet, il n’était pas prise de tête et le vouvoiement faisait partie des choses que l’Allemand considérait comme superflu. Le soleil ayant disparut en quasi-totalité, les membres du jeune homme commençait à se frigorifiait.
Filipe - J’avais prévu de prendre un verre au Haras, tu m’accompagnes ?
Il n’attendait que sa réponse positive pour courir au chaud pour prendre un verre - ou deux -. Il l’avait bien mérité après une si longue journée.
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# Re: Codage Ju'Lun 5 Avr - 14:47Parvina
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Une rencontre aux poils BLABLALBLA
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